🐮 Collectif De L Éthique Sur L Étiquette
Lecollectif De l’éthique sur l’étiquette regroupe 43 ONG, syndicats et mouvements de consommateurs. Il agit en faveur du respect des droits de l’Homme au travail dans le monde et de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la « qualité sociale » de leurs achats, c’est à dire l’ensemble des conditions de travail des personnes qui ont participé à la
Un texte de loi est en projet pour que le code des marchés publics favorise ces produits», précise Pascal Erard, coordinateur du collectif De
Lesassociations Collectif éthique sur l’étiquette et Peuples Solidaires ont lancé un appel aux différentes entreprises concernées afin de prendre leur responsabilité dans cette affaire. La forte mobilisation qui a suivi le drame a permis d’imposer le principe d’un fonds d’indemnisation ; fixé à un peu plus de 54 millions d’euros, et qui vise à porter assistance aux
Vivre de son travail, c'est vital" : c'est le dernier slogan du collectif "Éthique sur l'étiquette", qui se bat pour les droits des 60 millions de travailleurs de l'industrie textile à travers le monde et souhaite faire pression sur les multinationales. C'est sur le web que le collectif fait appel aux bonnes volontés. Avec un mot-clé sur
Membredu réseau européen Clean Clothes Campaign, le collectif Éthique sur l’étiquette agit en faveur : du respect des droits humains au travail dans le monde de la reconnaissance du droit à l’information des consommateurs sur la qualité sociale de leurs achats. Créé en 1995, | Read More: Éthique sur l’étiquette
LeCollectif Ethique sur l’étiquette rappelle que, 20 ans après le premier scandale survenu dans l’industrie du textile (Nike et le travail des enfants pakistanais en 1996), laisser aux seules multinationales la tâche de réguler leur activité n’a pas évité d’autres scandales ou situations de violations des droits humains fondamentaux.
PrintPlay the game 2 for Collectif De l'éthique sur l'étiquette - La campagne "Jouez le jeu" est destinée à sensibiliser l'opinion publique au respect des
Lecollectic éthique sur l’étiquette est un collectif d’associations de solidarité internationale et d’éducation populaire, de syndicats, de collectivités locales et de mouvements de consommateurs qui s’est formé en 1995 et constitué en association loi 1901 en Septembre 2007.
Éthiquesur l'Étiquette rassemble une vingtaine d'organisations diverses, dont la CFDT. Pour sensibiliser les consommateurs et les citoyens aux conditions de travail dans les filières d'approvisionnement et interpeller les grandes enseignes sur la 'traçabilité sociale' des produits textiles de leurs marques, le Collectif Ethique sur l'Etiquette demande l'ouverture d'un
CollectifÉthique sur l’étiquette Le nouveau maillot de l’équipe de France de football, floqué de ses 2 étoiles, sera bientôt commercialisé et fera la part belle au portefeuille de l’entreprise Nike, l’équipementier des Bleus, mais beaucoup moins de la main
Cest une conviction et une réalité en marche: la mode de demain sera éthique, durable, circulaire, coordinatrice du collectif Ethique sur l'étiquette. Dans le
Dansson acception courante, l’éthique renvoie au devoir d’« agir comme il faut » et évalue le poids moral des actions. Pourtant, il est une autre forme d’éthique, dite « épistémique », qui évalue le poids moral des savoirs collectifs, comme ceux embarqués dans les théories financières en vigueur et, par extension, dans les outils de gestion et les produits qui les utilisent.
éthique Collectif « Notre Bon Droit » – Belgique. COVID-19 › Origine › Epidémiologie › Immunité › Recherche › Faits et chiffres; VACCINS › Technologies vaccinales › Effets indésirables › Boosters (3e, 4e dose) SOINS › Traitements › Prévention et santé › Liberté de prescrire › Médecine; POLITIQUE SANITAIRE › Pass sanitaire / vaccinal › Obligation
LeGroupe Lecoin est membre de plusieurs collectifs qui travaillent sur des thèmes qui lui sont chers: Collectif Tibet-Dunkerque, Réseau « Sortir du nucléaire », Collectif « De l'éthique sur l'étiquette », Collectif pour la fermeture du marché de l’armement EuroSatory, Collectif pour une Cour Pénale Internationale, ADELFA (Assemblée pour la Défense de l’Environnement du
CollectifEthique sur l'étiquette. 13,219 likes · 2 talking about this. Le Collectif Éthique sur l'étiquette défend les droits humains au travail dans les chaînes mondialisées de
rDWq. Des ressources pour l'évaluation Des repères pour l'action Click’Études Accueil » Erreur 404 Page non trouvéeErreur 404 - page introuvableVous êtes ici Accueil / Erreur 404 Aucune page ne correspond à votre recherche Désolé, l'article que vous recherchez est introuvable. Veuillez utiliser la fonction Rechercher » dans l'entête du site.
La Proposition de Loi sur le Devoir de Vigilance des multinationales pourrait être adoptée durant la 1ère quinzaine de Février. Il s’agit d’un long combat porté par nos organisations depuis plus de 4 années. Le collectif local Ethique sur l’étiquette » a décidé de poursuivre notre mobilisation auprès de nos élus départementaux par une action de rue symbolique » pour maintenir la pression indispensable afin que nos députés poursuivent leur engagement. Vous trouverez ICI le flyer annonçant l’action et demandant à tous de venir nous rejoindre ce vendredi 3 Février de 12 H 3O à 13 H 30 devant le magasin en profiterons pour distribuer quelques tracts, non pour un boycott des achats, mais pour obtenir le juste salaire des travailleurs ses des multinationales qui délocalisent en augmentant toujours plus leurs pouvez vous rendre sur le site du collectif national Ethique sur l’étiquette » où vous pourrez signer un appel urgent en soutien aux travailleurs et travailleuses du Bangladesh, victimes d’une terrible répression pour avoir réclamé l’application de leurs droits sur Cfdt interco 35 Secrétaire générale CFDT Interco 35 Vous aimerez aussi...
Le 15 décembre 2021 - La Cour de cassation vient de rendre sa décision dans le cadre de l’affaire opposant le géant pétrolier Total à six associations françaises et ougandaises – les Amis de la Terre France, Survie, AFIEGO, CRED, NAPE et NAVODA -, qui constitue la première action en justice sur le fondement de la loi sur le devoir de vigilance des multinationales. Clôturant près de deux ans de bataille procédurale, la juridiction suprême a donné raison aux associations en rejetant la compétence des tribunaux de commerce [1]. Alors que les violations perdurent et se multiplient sur le terrain, l’affaire va donc retourner en première instance pour être enfin examinée au fond par un tribunal judiciaire. Après une décision du tribunal judiciaire de Nanterre en janvier 2020, qui s’était déclaré incompétent au profit du tribunal de commerce, et sa confirmation en décembre 2020 par la Cour d’appel de Versailles [2], les Amis de la Terre France, Survie et leurs quatre partenaires ougandais avaient décidé début 2021 de se pourvoir en cassation, avec le soutien, sur cette question de la compétence, d’ActionAid France, du CCFD-Terre Solidaire, du Collectif Éthique sur l’étiquette et de la CFDT. Pour les associations, la décision rendue aujourd’hui par la Cour de cassation, donnant compétence au tribunal judiciaire, est une victoire importante. La Cour a tranché en faveur des associations en reconnaissant le “droit d’option” dont celles-ci bénéficient en tant que requérantes non commerçantes [3]. En confiant l’affaire au tribunal judiciaire, cette décision permet de s’inscrire dans l’esprit de la loi sur le devoir de vigilance. En effet, cette loi a pour objectif de rendre les entreprises responsables des impacts de leurs activités sur les tiers que sont les salarié-e-s de ses filiales, fournisseurs et sous-traitants, les communautés locales ou encore l’environnement. Alors que le tribunal de commerce tire sa légitimité de la connaissance du monde des affaires, il s’agit ici d’enjeux externes, de protection des droits humains et de la planète, qui ne peuvent être réduits à un litige purement commercial. De plus, cette décision s’inscrit dans la même logique que l’article adopté il y a peu par le Parlement dans le cadre de la loi sur la Confiance dans l’institution judiciaire - qui sera bientôt promulguée -, donnant dorénavant compétence au tribunal judiciaire de Paris pour toutes les affaires fondées sur la loi sur le devoir de vigilance [4]. Pour Juliette Renaud, des Amis de la Terre France, Nous sommes soulagés par cette décision de la Cour de cassation, qui vient enfin clôturer près de deux longues années de bataille de procédure. Nous sommes cependant très inquiets par les délais que cette question a engendrés pendant ce temps, selon nos enquêtes, plus de 100 000 personnes sont toujours privées totalement ou partiellement de leurs terres et de leurs moyens de subsistance en Ouganda et en Tanzanie [5]. Il y a urgence à agir, et nous espérons que la décision à venir sur le fond permettra d’ordonner à Total de prendre enfin des mesures concrètes pour faire cesser ces violations ». Pour Thomas Bart, de Survie, Cette décision constitue une première victoire dans la longue bataille judiciaire que nous avons engagée contre la multinationale. Nous allons enfin pouvoir nous concentrer sur le fond de l’affaire. Malgré les alertes répétées de la société civile, le projet continue d’avancer à marche forcée sans se soucier de la répression des opposants sur le terrain nos partenaires et les membres de communautés qui osent élever leurs voix contre ce mégaprojet pétrolier font l’objet d’intimidations croissantes et les arrestations arbitraires se multiplient [6] ». Cette décision de la Cour de cassation renvoie l’affaire au tribunal judiciaire de Nanterre, où une audience, portant enfin sur le fond de l’affaire, devrait donc se tenir dans les prochains mois. Contacts presse • Amis de la Terre France Juliette Renaud, +33 6 37 65 56 40, • Survie Thomas Bart, +33 7 70 06 90 53, • ActionAid France- Peuples Solidaires Maelys Orellana, • CCFD-Terre Solidaire Sophie Rebours, + 33 7 61 37 38 65, • Collectif Ethique sur l’étiquette Nayla Ajaltouni, +33 6 62 53 34 56, Notes [1] La décision de la Cour de cassation est disponible ici. [2] Voir le communiqué de nos associations le 10 décembre 2020 “Affaire Total Ouganda la cour d’appel de Versailles renvoie au tribunal de commerce“. Pour en savoir plus sur l’historique de cette action en justice, lire la note des Amis de la Terre et Survie octobre 2020 Total Ouganda – Première action en justice sur le devoir de vigilance des multinationales où en est-on ? [3] Selon le droit d’option, si le requérant est non commerçant, comme c’est le cas de nos associations, il peut choisir de porter un litige contre une société commerciale devant le tribunal judiciaire ou devant le tribunal de commerce. En novembre 2020, ce principe a été réaffirmé par la Cour de cassation dans l’arrêt “Uber”, même dans le cas où le litige avait un lien direct avec la gestion arrêt disponible ici. C’est sur cet arrêt que s’était appuyé le tribunal judiciaire de Nanterre dans l’affaire “Total climat”, également fondée sur la loi sur le devoir de vigilance. [4] Voir le communiqué de nos associations le 21 octobre 2021 Attribution de la compétence à un tribunal judiciaire les parlementaires sauvent l’esprit de la loi sur le devoir de vigilance ! [5] Voir l’enquête des Amis de la Terre France et Survie octobre 2020 Un cauchemar nommé Total - Une multiplication alarmante des violations des droits humains en Ouganda et en Tanzanie. [6] Voir le reportage du Monde, publié le 26 novembre 2021 “En Ouganda, le pétrole de Total impose le silence et la peur”.
Le collectif, au niveau national, rassemble de nombreuses organisations telles que Oxfam, Artisans du monde, Action Aid, ainsi que la CFDT. La structure est également présente à l’échelle locale où elle regroupe les mêmes acteurs ainsi que Colecosol ; un collectif promouvant le commerce équitable. Les nombreuses actions menées ont permis l’adoption de la loi relative au devoir de vigilance des entreprises en 2017. L’objectif est affirmé interpeller les dirigeants pour faire bouger les lignes et agir concrètement afin que les droits humains soient respectés, qui plus est dans un contexte où la pandémie de Covid-19 fait des ravages. Crise du Covid 19 et catalyseur des écarts sociaux En effet, la situation s’avère dramatique pour de nombreuxses travailleurses puisque ces derniers ont subi une perte d’activité conséquente, et ce dès le printemps 2020. Effet secondaire de la crise ; 10% d’ouvrierres se sont retrouvés sans emploi, sans indemnités, et sans protection sociale. Il est assez aisé d’en déduire que la précarité accrue a débouché sur des situations dramatiques du point de vue économique et sanitaire. Effectivement, les travailleurses se sont retrouvés face à un choix cornélien travailler et risquer de contracter le Covid 19 ou rester confinés et perdre une source de revenus. Cette situation est d’autant plus ubuesque que l’on a pu observer les profits records d’enseignes telles que Nike +11% reversés en dividendes et Amazon 200% de ses bénéfices soit 21,3 milliards de dollars. Ces écarts considérables posent à nouveau la question de la redistribution des richesses. Comment agir concrètement pour obtenir plus de justice sociale? Pay your workers Dès novembre 2020, les 40 pays membres d’une organisation de défense des droits humains se sont rassemblés pour créer la coalition Pay your Workers et lancer la campagne de mobilisation du même nom. L’objectif est simple tirer la sonnette d’alarme sur les conditions de travail afin que les droits des travailleurses soient davantage respectés. À ce jour, il est encore possible de signer la pétition en ligne. Localement, le collectif s’est mobilisé en allant à la rencontre du consommateur afin d’informer et sensibiliser sur la problématique du textile éthique. Le constat est simple, derrière chaque vêtement se cache un travailleur précaire. Les alternatives Par ailleurs, la mobilisation a également permit de mettre en lumière les alternatives existantes. En effet, des enseignes engagées dans la transition écologique telles qu’Artisan du monde ou Vethétic proposent un ensemble de produits produits compatibles avec le respect des droits humains et de la planète. Nos choix en terme de consommation consommer moins et mieux ont autant d’impact qu’un bulletin de vote, œuvrons pour plus d’éthique derrière l’étiquette. Pour aller plus loin Législation Loi n° 2017-399 relative au devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses Les acteurs ouvre un nouvel onglet
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